Cher Frédéric, dans ce bel article de presse, vous déclarez notamment être fier d’avoir tendu la main à Gabriella comme on l’a fait pour vous.
Je n’en suis pas étonnée ; le sentiment de reconnaissance vous a toujours habité, de même que le désir de rendre service et de témoigner d’une grande empathie.
Autant de qualités qui vous rendent profondément attachant.
Très amicalement
Isabelle
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Cher Frédéric, dans ce bel article de presse, vous déclarez notamment être fier d’avoir tendu la main à Gabriella comme on l’a fait pour vous.
Je n’en suis pas étonnée ; le sentiment de reconnaissance vous a toujours habité, de même que le désir de rendre service et de témoigner d’une grande empathie.
Autant de qualités qui vous rendent profondément attachant.
Très amicalement
Isabelle